Un passage qui m'a beaucoup fait rire et qui m'a fait arrêter définitivement la lecture de ce livre.
Extrait de la page 26 : "Des cités filles de la dynastie des Ni : Yodu-lou-baikan ( la plus grande productrice de céréales ) ; Giou-li-aikan ( dont les légions tueuses ont vaincu il y a deux ans une coalition des termitières du Sud ) ; Zébi-bei-nakan (célèbre pour ses laboratoires chimiques arrivant à produire des acides de combat hyperconcentrés) ; Li-viu-kan (dont l'alcool de cochenille a un goût de résine très recherché).
Ce passage est très inventif mais ne colle pas du tout avec le reste du livre qui est très terre à terre. Ici nous voyons des fourmis avec un chapeau de paille sur la tête en train de cultiver des céréales, là des fourmis en blouse blanche dans un labo de chimie qui essaient des nouvelles armes et plus loin des fourmis en tablier de cuir qui distillent de l'alcool. Waouh ! C'est la fête dis donc !
Désolé Werber mais ton roman ne tient pas debout : j'ai même trouvé du comique dans une scène qui ne l'était pas. Et dire que ce livre se prétend philosophique ...